Sous les couleurs de son pay

Bâtisseur Nombre de messages : 498 Date d'inscription : 28/05/2007

Il devait bien le rédiger ce fichu rapport, il devait bien le dire d'une façon ou d'une autre qu'ils étaient perdus. Alors il commença

Mon seigneur De Montis,

Le 12/05:

- En début de matinée, nous commençons le combat, nous enfonçons les défenses ennemies, avec nos canons. Les leurs ne sont pas a portés de tire, ils cessent le feu pour ne pas gaspiller de poudre et de boulet. Une fois notre feu cessé, j'envoie la cavalerie, qui rentre dans le tas, et en fait tomber trois bonnes centaines.

-Dans la mi-journée, l'ennemis commence a se replier dans les murs de Fort Iquique, nous le pourchassons jusqu'au bout, mais de là, leurs archers nous tirent dessus. Seul quelques combattants de Fort Iquique reste au combat, mais mes hommes n'en font qu'une bouchée. Il m'envoie le lieutenant du petit groupe de "soldat", je l'envoie a mon tour dans une de nos tentes bien gardées!

-En fin de journée, je décide de rapprocher les canons et de tirer au dessus du mure, la fumé sort des canons, et des cris sortent du Fort.
nous saisons les combats canonniers au tombé de la nuit. Nous remplaçons les canons par des santinels, tous le monde et sur le pied de guerre.

-La nuit tombée, nous interrogeons le lieutenant, nous le couchons sur une table, le boucher lui casse les poignets pour pouvoir les attacher aux pieds de la table qui fait un angle de quatre-vingts degrés avec le plateau de celle-ci. Ensuite il prend des piques de vingt centimètres, il parts du cou, et fait glisser tous doucement sur son corps, en pressant fort a certain endroit, et continue à faire glisser jusqu'aux pieds. Il prend un mailler, et commence a frapper fort sur le pique, qui entame la cher, puis l'os, pour enfin arriver au bois de la table.( Le soldat criait comme un porc qu'on égorgé.)Il prit un couteau, et fit une entaille du plexus, jusqu'a son sexe, puis il y balança du seul, et encore du sel, le soldat criait de plus en plus fort, et ce n'était pas terminé! Le boucher l'obligera à regarder tout son matériel, des couteaux de différente taille, des ciseaux, des clous des marteaux, de l’eau sur salé....
Il ne nous a jamais rien dit, même après lui avoir arraché les couilles avec une serpe…
Nous le renvoyant a son camps en charrette, il était déjà mort...

Bâtisseur Nombre de messages : 498 Date d'inscription : 28/05/2007

Le 13/05:

debut de matinée, Nous recevons une petite offensive d'en nous faisons qu'un bouchée

fin de matinée, un des soldats du seigneur Thocauma vient en sa campagnie sous drapeau blanc, pour nous dire de nous retirer, sinon nous en payrons le prix.

Début de journée, Une de mes sentinel me rapporte qu'un armée de 6 000 hommes, et sur les routes de Fort Iquique, sois deux fois plus que nous. je tentes de mettre au point un plan de secour, mais nous sommes fait comme des rats, nous assiégeant, nous sommes assiégé!

Fin de journée, les hommes se sont battu comme des lions, mais rien a faire, ils tombent les un aprés les autres, alors je prends la descision de m'en fuire avec un petit groupe, pour me cacher!
a l'heure ou je vous écrit, nous entendons des pas de cheveau, peut-être nous cherchent-ils?

Les hommes du seigneur De Montis, en fin, ce qu'il en restait avait été en fermé! quand soudain un homme entra. les soldats ne pouvais pas le voire, car il avait la lumiére dans le dos.

-nous allons vous laisser partir rendre compte a votre seigneur de ce facheux combat, déplorable! dit-il de ton de dégout

-merci mon seigneur

-ne me remerci pas lâche, vous auriez mieux fait de mourir au combat, vous allez rapporter tous vos camarade mort.
Gardes sortaient les.

les gardes, les guidérent vers la sortie du chateau, là-bas, une charette, remplie de paniller, avec des doigts, des tétes, des jambes. leurs amis, mais en morceau.

ils partirent avec la charette, plien de haine, de dégout. dans l'autre camps, chacun était refermé.
voila ce qu'une guerre pouvais apporter. c'est pourquoi, d'une façon ou d'une autre, il fallait y remedier, et pour cela, il faut.....

FIN